Culture Dans son deuxième film documentaire, Aïssa Maïga emmène les spectateurs au Niger pour prendre la mesure de la crise environnementale en cours. Les habitants du village de Tatiste, dans le nord du Niger, doivent parcourir de très longues distances pour avoir accès à l’eau à la saison sèche. © DR Son premier film abordait frontalement la question de la représentation des Noirs au cinéma. Pointant les stéréotypes du septième art en la matière, mais aussi et surtout… le peu de place que les productions françaises accordent aux personnes de couleur, Aïssa Maïga avait jeté un pavé dans la mare lors d’un discours mémorable, prononcé lors de la cérémonie des César. C’était le 28 février 2020. Vingt mois plus tard, la comédienne signe un nouveau documentaire choc non moins engagé, consacré à un autre sujet brûlant le réchauffement dans le nord du Niger entre octobre 2018 et octobre 2019, à Tatiste, un hameau confronté à de graves problèmes d’approvisionnement en eau, ce long-métrage permet aux spectateurs de se faire une idée des conséquences concrètes de la catastrophe écologique qui s’y déroule. 210 millions de personnes dans le monde n’ont pas accès à l’eau potable. Derrière cette froide statistique, j’ai voulu donner à voir les hommes et les femmes qui se battent chaque jour pour avoir accès à cette ressource vitale », explique la comédienne, devenue quadragénaire n’a pas hésité longtemps quand le producteur Yves Darondeau lui a proposé ce tournage. C’est Guy Lagache qui devait initialement signer ce film, mais une mission l’a empêché de conduire ce projet à son terme. Le sujet me permettant de retrouver une région, irriguée par un fleuve au bord duquel j’ai passé beaucoup de vacances quand j’étais enfant, c’est en pensant à ma grand-mère que j’ai accepté de prendre le relais. Je me disais que c’était aussi l’occasion de rendre hommage aux femmes africaines », sacrifiéeC’est en suivant une adolescente, Houlaye, que l’on va découvrir le quotidien de ces populations d’Afrique de l’Ouest. Cette jeune fille de 14 ans n’est pas seulement contrainte à marcher de longues heures jusqu’à un puits qui, bien que très profond, n’en est pas moins régulièrement asséché pour aller y chercher de l’eau. Comme la plupart des jeunes de son village, c’est à elle qu’incombe la rude tâche d’élever ses frères et sœurs tandis que ses parents partent gagner de quoi survivre dans cette région déshéritée. Son père est descendu dans le Sud pour chercher des pâturages pour ses troupeaux. Sa mère est allée en ville pour tenter d’y glaner un peu d’ Maïga dépeint avec sensibilité l’inquiétude que ces longues absences peuvent faire naître chez les enfants restés au village, mais aussi l’envie qui les taraude de quitter à leur tour cet environnement inhospitalier pour trouver ailleurs un cadre de vie plus agréable. Situé au cœur de l’Azawagh, à quinze heures de route de Niamey, la capitale du Niger, l’endroit est peut-être magnifique. Il n’en est pas moins invivable. Puissamment humaniste, le film d’Aïssa Maïga décrit les sacrifices que chacun des protagonistes doit consentir en raison du manque d’eau renoncer à ses études, dans le cas de Houlaye, pour pouvoir prendre en charge sa fratrie ; voyager toujours plus loin pour les adultes, sur des routes rendues dangereuses par les bandes armées qui les super-hérosHeureusement, il y a l’école du village. Présentée comme une forme de sanctuaire en péril, qu’il faut régulièrement reconstruire en raison des dégâts provoqués par les vents du désert, animée par un instituteur vibrant d’optimisme, elle est le dernier refuge des enfants de Tatiste. Mais pas seulement. C’est ainsi au jeune professeur que les anciens demanderont de rédiger une lettre suppliant le préfet de région de forer un nouveau puits. Car, c’est là toute l’ironie de la situation, une immense nappe phréatique s’étend sous leurs pieds, à plus de 200 mètres de profondeur. Et, comme le remarque, non sans humour, un gamin C’est un peu comme si nous marchions sur l’eau. » D’où le titre du LIRE AUSSIEmmanuel Cappellin le climat en bandoulière Les villageois parviendront-ils à convaincre les autorités de la nécessité de creuser le sous-sol jusqu’à ce lac aquifère de plusieurs milliers de kilomètres carrés qui court sous plusieurs pays de la région ? Et si oui, ce forage suffira-t-il à alimenter en eau toute la population du coin ? Que se passera-t-il, enfin, le jour où cette nouvelle réserve se tarira à son tour ? Aïssa Maïga aborde toutes ces questions dans son documentaire dont l’image soignée du tout jeune chef opérateur Rouslan Dion est sublimée par la musique hypnotique composée par Uèle Lamore, une Franco-Américaine de 27 film, distribué dans une quinzaine de pays africains, doit être prochainement projeté à l’ONU. Sa réalisatrice espère que les États membres de l’organisation reconnaîtront l’urgence qu’il y a à créer un Conseil des Nations unies autour de la question spécifique de l’eau ». En attendant, elle s’apprête à repartir sur place pour un sixième voyage. Histoire de montrer ce documentaire dans le village où la production a lancé plusieurs projets de développement. Ariane Kirtley, la directrice de l’ONG Amman Imman [ce qui signifie “l’eau, c’est la vie” en langue peule, NDLR], avec qui j’ai coécrit ce film, veille à ce que ce film profite à la population locale », glisse Aïssa sur l’eau, film de 89 min, produit par Yves Darondeau et Emmanuel Priou, coproduit par Jean-François Camilleri, Serge Hayat et Raphaël Perchet. Il a été coécrit par Ariane Kirtley et Aïssa Maïga, d’après une idée originale de Guy Lagache. En salle actuellement. Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement Cinéma – Quand l’eau vaut plus que l’or 5 Commentaires Commenter Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point. Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point.
Conduireau Panama ne requiert pas un permis de conduire international (qui n’est que la traduction officielle de votre permis national), ni une demande spécifique pour avoir le droit de conduire un véhicule de location à l’étranger. Pour louer un véhicule, les conducteurs devront présenter leur permis de conduire et leur passeport
L’eau coule, cela pourrait paraître bien anodin, tant nous sommes souvent habitués à l’avoir disponible. Mais à travers cela, elle nous donne une grande leçon pour conduire notre propre vie. Comme elle, nous ne pouvons pas nous accomplir sans couler vers le plus bas aussi bien individuellement que collectivement. Certains groupes sur l’ensemble de la surface de la terre ont pris appui sur elle et sa propriété d’écoulement pour vivre, pour structure leur manière de vivre. Ainsi des Cappadociens [dans l’actuelle Turquie], des hommes, semble-t-il, fort peu belliqueux et qui, de ce fait, préféraient se cacher de l’envahisseur plutôt que de l’affronter. Pour cela, dans la roche facile à travailler, ils construisaient de véritables cités souterraines où récoltes, troupeaux, familles pouvaient trouver refuge... Mais, avant d’édifier ces villes souterraines, ils commençaient toujours par rechercher une source souterraine, source qui permettait d’organiser la vie de cette société de la pénombre, dans des structures qui pouvaient compter jusqu’à quatorze étages... Ces magnifiques constructions trouvaient donc leurs structurations à partir de la présence de la modeste eau en son écoulement humble... Sous d’autres cieux, d’autres sociétés ont aussi cherché à réguler ainsi l’écoulement de l’eau. Un écoulement régulé donne à beaucoup de profiter de ce vecteur de vie. Au Pérou, un antique système permettant l’irrigation d’un pan entier de la colline ne fonctionnait plus bien, les parcelles les plus basses ne recevaient plus qu’un apport minime. La solution pour l’ONG en charge du développement de ce secteur était d’améliorer la situation mais comment ? Choix a été fait, de réparer plus le système relationnel qui portait le système d’irrigation que celui-ci directement. La raison donnait plus de chance pour que le système assure vraiment sa maintenance. A travers diverses réunions, diverses visites sur le terrain, chacun des paysans a pu mieux mesurer la situation globale et diverses actions d’amélioration ont pu être effectuées sur la base du volontariat. L’eau s’est remise à couler jusqu’aux parcelles les plus basses. Ainsi à chaque fois, ce qui guide la société humaine vers plus de vie que cela soit d’assurer une survie raisonnable dans les tréfonds de la terre, que cela soit d’assurer une irrigation de toutes les parcelles d’une collectivité paysanne est de suivre et de respecter le mouvement qu’imprime l’eau vers le plus bas... Notre Seigneur fera de même, demandant de recevoir le baptême de conversion du Baptiste. A nous aussi, dans cette gigantesque société mondiale qui se bâtit, que nous bâtissons, n’oublions pas de suivre cette modeste eau, qui échappe toujours pour rejoindre le plus bas, en fidèle servante, ne cessant de louer dans son abaissement même... PRIER AU CŒUR DU MONDE donne chair aux intentions de prière que le Pape nous confie, et nous aide à prier. Photo Pour être informé des derniers articles, inscrivez vousRAUTITANassure une connexion durablement étanche grâce aux conduites, raccords et douilles coulissantes. Et cela sans joint torique. La conduite elle-même constitue l’étanchéifiant, l’installation peut être mise directement en pression. Les matériaux robustes autorisent une température de traitement jusqu’à -10 °C. 1. Élargir
Publié le 04/08/2022 à 1721, Mis à jour le 04/08/2022 à 1729 Les agents de l'OFB lors d'une patrouille dans le Nord. FRANCOIS LO PRESTI / AFP En l'absence de pluies, l'usage de l'eau est restreint dans tout l'hexagone. Le nombre de contrôles effectués par l'Office français de la biodiversité explose 2000 opérations ont eu lieu en une sa voiture, remplir sa piscine ou arroser son jardin. Des gestes anodins qui, en cette sécheresse sans précédent, peuvent coûter cher aux Français. Pour veiller à ce que chacun respecte les restrictions, l'Office français de la biodiversité OFB effectue quotidiennement des contrôles, jusque dans le jardin des la généralisation de la sécheresse sur tout le territoire, le nombre d'opérations explose à la fin du mois de mai, la police de l'environnement recensait environ 500 contrôles menés depuis le début de l'année. Fin juillet, elle en comptait 2000. Une semaine après, 4000. C'est une augmentation considérable, mais proportionnée à la situation», explique Loïc Obled, directeur général délégué Police, connaissance, expertise» à l' et signalementsConcrètement, ces opérations sont menées par les différentes équipes départementales qui veillent au respect des arrêtés préfectoraux. Ces deniers diffèrent d'un département à un autre, en fonction des enjeux et spécificités du territoire. En cette période de crise, une quarantaine d'agents supplémentaires sont mobilisables sur l'ensemble du territoire afin de renforcer les rôle effectuer des patrouilles et intervenir en cas de comportement inapproprié. Ils peuvent également répondre à un signalement sur une zone identifiée, indique Loïc Obled. C'est le cas lorsque des informations remontent, par les mairies ou même les riverains». Signalements qui leur permettent d'intervenir directement chez les particuliers, dans leur jardin par exemple, lorsqu'une consommation d'eau inappropriée leur a été opérations ne se soldent pas systématiquement par une sanction, bien au contraire. Environ 8 à 9 personnes sur 10 sont en conformité avec les interdictions prévues par les arrêtés préfectoraux, souligne Loïc Obled. Et, lorsque ce n'est pas le cas, l'objectif est vraiment de faire de la pédagogie, d'expliquer pourquoi laver sa voiture n'est pas une bonne idée en ce moment».À lire aussiComment stocker l'eau pour faire face aux prochaines sécheresses ?À VOIR AUSSI - Sécheresse à Paris Anne Souyris détaille les mesures mises en place par la VilleUne pédagogie encore difficile, selon l'OFB, qui explique qu'aux yeux des usagers l'eau reste un bien particulier. Chacun estime que son usage personnel est prioritaire sur celui des autres... Notre objectif est donc de dresser un équilibre entre cette consommation et la préservation de cette ressource», poursuit Loïc plus réfractaires, environ un dixième, tombent sous l'autorité des parquets, qui définissent les éventuelles sanctions, du rappel à la loi au paiement d'une amende. Cette dernière peut aller de 1500 euros pour une première infraction à 3000 euros en cas de récidive. Les entreprises, elles, risquent jusqu'à 7000 l'explication aux sanctionsL'explication et la discussion sont d'autant plus importantes que certains départements restent peu habitués aux contraintes liées à la sécheresse. En Bretagne ou en Rhône-Alpes, les habitants ont subi beaucoup de contrôles parce que leurs modes de vies sont beaucoup moins adaptés à ces sécheresses intenses», observe le lire aussiAvez-vous réduit votre consommation d'eau en raison de la sécheresse ?La vague de contrôles en cours depuis une dizaine de jours est loin d'être terminée et devrait se poursuivre durant toute la période de sécheresse. Ces premières opérations ont permis de sensibiliser et de prévenir les riverains sur l'importance du respect des restrictions. Progressivement, nous allons miser sur le fait que chacun est désormais au courant de ces enjeux», explique le spécialiste avant de prévenir D'une phase d'explication, nous allons passer à davantage de sanctions».À VOIR AUSSI - Sécheresse Il y a peu de perspectives d'amélioration avant le 15 août», alerte Vincent BordenaveEneffet, la rupture d’une conduite d’eau de la JIRAMA au niveau de la bifurcation menant vers Ambodivoanjo a fait jaillir sur la chaussée un flux d’eau à débit suffisamment important pour inonder ce tronçon de rue jusqu’à plus d’une centaine de mètres plus loin. Résultat : les véhicules roulent sur une chaussée immergée sous une dizaine de centimètres
Après avoir pris des mesures plus restrictives d’eau pour la Haute-Corse, le préfet du Cismonti s’est exprimé mercredi 3 août devant les médias. Pour lui, "il ne s’agit pas de crier au loup mais de regarder l’état des réserves". "Si nous continuons à ce rythme de consommation d’eau, compte tenu des évolutions météorologiques attendues, il n’y aura plus d’eau dans 25 jours". Moins de 24 heures après avoir tiré la sonnette d’alarme et mis en place de nouvelles mesures restrictives dans le Cismonti, le préfet de Haute-Corse est revenu, ce mercredi face aux médias, plus en détail sur les raisons de sa décision. "25 jours, c’est le nombre de jours qui nous restent pour l’instant de ressources en eau, à consommation inchangée", explique-t-il avant de répondre à certaines critiques quant à une situation qui serait "moins alarmante" que celle annoncée par les autorités. "Il ne s’agit pas de crier au loup mais de regarder l’état des réserves, explique François Ravier. Ce diagnostic a été fait hier lors d’une réunion en présence de l’Office d’équipement hydraulique de Corse, de lOdarc, de la chambre d’agriculture, de la Collectivité de Corse et de l’ensemble des filières." Et le préfet du 2B de marteler "Il ne s’agit donc pas de crier au loup mais de dire la vérité et de lancer un appel fort et solennel à la responsabilité et à la solidarité de tous pour que ce nombre de jours qui nous reste de ressources en eau puisse être allongé le plus possible grâce à des usages conformes au contexte que nous connaissons." Le point presse de François Ravier, préfet de Haute-Corse Équipe journalistes A. De La Taille - G. Leonetti Si de nouvelles mesures ont été prises concernant les agriculteurs passage d’une interdiction d’arrosage de 24 heures à 36 heures par semaine, celles pour les particuliers ont été renforcées. Les contrôles vont également s’intensifier. "C’est compliqué à mettre en place car, par définition, on ne met pas un gendarme ou un policier derrière chaque personne mais il faut qu’on fasse des contrôles, souligne le préfet. L’explication et la pédagogie sont nécessaires et le contrôle l’est tout autant. Quelles que soient les filières ou les pratiques, on a des personnes qui respectent les règles et d’autres non." Selon François Ravier, les contrôles effectués révèlent des infractions quant au non-respect de l’arrêté dans "3 cas sur 4". Il insiste sur le fait qu’il ne faut "pas mettre l’accent uniquement sur les agriculteurs". "Tous les autres usages de l'eau sont aussi importants", précise-t-il tout en rappelant que "même si les objectifs de réduction d’eau n’ont pas été atteints, ils ont quand même réduit petit peu. Cela veut dire qu’il y a eu un vrai effort." Ce mercredi soir, Gilles Giovannangeli, président de l’Office d’équipement hydraulique de Corse, a publié un communiqué dans lequel il revient sur les déclarations, la veille, du préfet au sujet des "25 jours". "Nous ne remettons pas en cause la nécessité des restrictions qui doivent conduire à des économies d’eau dans un contexte climatique très tendu, avec un mois de juillet 2022 qui a été le plus chaud de l’histoire, est-il écrit dans le texte. Néanmoins, lors du CRE comité de ressources en eau du 02 août 2022, nous avons fait savoir à Monsieur le Préfet de Haute-Corse notre désaccord sur le message diffusé quant à une absence de ressource disponible dans 25 jours. Pour notre part, nous en appelons à la responsabilité de l’ensemble des particuliers, collectivités, entreprises, agriculteurs à respecter les termes du nouvel arrêté du 2 août 2022. Cet effort collectif couplé à une gestion optimale de nos réseaux nous permettra de conserver des ressources disponibles jusqu’à la fin de la saison." Quant à savoir si ces nouvelles mesures seront suffisantes pour éviter une pénurie d’eau d'ici la fin du mois, la réponse dépend de "l’appel lancé à la responsabilité de tous" rétorque le préfet du Cismonti. Et d'ajouter "S’il fonctionne, dans 25 jours, on espère qu’il se passera le moins de choses possible. C’est-à-dire qu’on aura gagné des jours de consommation en eau. Autrement, un comité de ressources en eau se réunira la semaine prochaine et pourra décider de mesures éventuellement plus sévères et restrictives à partir du moment où l’on rentrerait dans les derniers jours de la ressource en eau pour cette saison."
Latransition vers une culture de la gestion des risques La question de la potabilité de l’eau se pose moins en termes de présence (ou d’ab-sence) de substances indésirables que de valeurs maximales à ne pas dépasser. L’amélioration de la potabilité de l’eau dépend pour beaucoup de l’amélioration des techniques analytiques.Vérifié le 25 novembre 2021 - Direction de l'information légale et administrative Premier ministreTout dépend du type de navigation que vous pratiquez eaux intérieures ou en mer, et de l'équipement de votre bateau moteur, voile, ....Répondez aux questions successives et les réponses s’afficheront automatiquementNavigation en eaux intérieures rivières, canaux, lacsBateau à moteurLa puissance de votre bateau est inférieure à 4,5 kilowatts 6 chevauxVous n'avez pas besoin d'un permis bateau pour naviguer en eaux puissance de votre bateau est supérieure à 4,5 kilowattsVous devez avoir un permis bateau qui comporte l'option ou l'extension suivante Soit l'option eaux intérieures, pour une navigation sur un bateau d'une longueur inférieure à 20 mètresSoit l'extension grande plaisance eaux intérieures, pour une navigation sur un bateau d'une longueur égale ou supérieure à 20 mètresBateau sans moteurVous n'avez pas besoin d'un permis bateau pour naviguer en eaux à voile et à moteurLa puissance de votre bateau est inférieure à 4,5 kilowatts 6 chevauxVous n'avez pas besoin d'un permis bateau pour naviguer en eaux puissance de votre bateau est supérieure à 4,5 kilowattsVous devez avoir un permis bateau qui comporte l'option ou l'extension suivante Soit l'option eaux intérieures, pour une navigation sur un bateau d'une longueur inférieure à 20 mètresSoit l'extension grande plaisance eaux intérieures, pour une navigation sur un bateau d'une longueur égale ou supérieure à 20 mètresNavigation en merBateau à moteurLa puissance de votre bateau est inférieure à 4,5 kilowatts 6 chevauxVous n'avez pas besoin d'un permis bateau pour naviguer en puissance de votre bateau est supérieure à 4,5 kilowattsVous devez avoir un permis bateau qui comporte l'option ou l'extension suivante Soit l'option côtière, pour une navigation jusqu'à 6 milles d'un abri titleContent environ 11 kmSoit l'extension hauturière, pour une navigation au-delà de 6 milles d'un abriBateau sans moteurVous n'avez pas besoin d'un permis bateau pour naviguer en à voile et à moteur quelle que soit la puissanceVous n'avez pas besoin d'un permis bateau pour naviguer en ? Réponses !Cette page vous a-t-elle été utile ?.